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4 février 2007

Un poème plein de fantaisie

Un jour qu'il faisait nuit

I
l s'envola au fond de la rivière.
Les pierres en bois d'ébène les fils de fer en or la croix sans branche.
Tout rien.
Je la hais d'amour comme tout un chacun.
Le mort respirait de grandes bouffées de vide.
Le compas traçait des carrés et des triangles à cinq côtés.
Après cela il descendit au grenier.
Les étoiles de midi resplendissaient.
Le chasseur revenait carnassière pleine de poissons sur la rive au milieu de la Seine.
Un ver de terre marque le centre du cercle sur la circonférence.
En silence mes yeux prononcent un bruyant discours.
Alors nous avancions dans une allée dans une où se pressait la foule.
Quand la marche nous eut bien reposé nous eûmes le courage de nous asseoir puis
Au réveil nos yeux se fermèrent et l'aube versa sur nous les réservoirs de la nuit.
La pluie nous sécha.

Robert Desnos

Surimi

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Commentaires
premiereLement
  • salut a vous curieux et curieuses! On me demande une courte présentation mais c'est dur, alors regardez dans la 1ere page du blog, ce sera + complet... En résumé, Nous faisons un blog pour nous exprimer et expliquer ce que nous faisons en section Litterair
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